« Tiako ianao ry Taniko » a permis à la FJKM Wagner de lancer l’opération logement pour les pasteurs retraités.
La communauté du temple FJKM « Fitandremana Wagner » à Paris vient de lancer l’opération logement pour les Pasteurs malgaches retraités à Madagascar. Bâtir les royaumes des cieux devrait commencer aussi sur terre, et c’est peut être la raison pour laquelle cette communauté de 500 membres actifs se sont réunis au cours d’un après midi culturel, ce samedi 27 mai 2007 à Orly dans la salle des êtes de l’hôtel Hilton pour démarrer cette opération qui vise à en joindre l’utile à l’agréable.
A travers une fresque dramatique en trois actes, écrite par Abel Andriarimalala, une pièce théâtrale intitulée « Tiako ianao ry Taniko », interprétée par les artistes et membres de la FJKM Wagner, les paroissiens avaient abordé avec ferveur, le thème du patriotisme et de l’unité nationale.
.La communauté du temple FJKM « Fitandremana Wagner » à Paris vient de lancer l’opération logement pour les Pasteurs malgaches retraités à Madagascar. Bâtir les royaumes des cieux devrait commencer aussi sur terre, et c’est peut être la raison pour laquelle cette communauté de 500 membres actifs se sont réunis au cours d’un après midi culturel, ce samedi 27 mai 2007 à Orly dans la salle des êtes de l’hôtel Hilton pour démarrer cette opération qui vise à en joindre l’utile à l’agréable.
A travers une fresque dramatique en trois actes, écrite par Abel Andriarimalala, une pièce théâtrale intitulée « Tiako ianao ry Taniko », interprétée par les artistes et membres de la FJKM Wagner, les paroissiens avaient abordé avec ferveur, le thème du patriotisme et de l’unité nationale.
Alors qu’il a consacré toute sa vie à servir le royaume des cieux, un pasteur malgache touche une modique somme de 5 euros mensuel pour sa retraite. Un revenu qui ne le permet pas d’avoir logement décent, vu le coût de la vie actuellement à Madagascar. Le Pasteur Max Randriamora qui dirige ses ministères depuis de nombreuses années en Europe, notamment à la FJKM de Paris, Nantes ne peut que cautionner cette initiative.
Enfin la liberté !
La FJKM Wagner ne fait pas les choses à la moitié. Pour différer l’ambiance entre les trois actes, quelques rafraîchissements et des « Mofo gasy » ont été mis à la disposition du public. Et avant de boucler la fête, place aux surprises…
Mme Hanta Randriamora, remercie publiquement les partenaires officiels de la FJKM Wagner dans cette opération : L’agence Comptoir de Madagascar représentée par Mme Blandine Andriambololo-Nivo et le Partenaire en communication Madagate.com représenté par votre serviteur Augustin Andriamananoro.
Lors du tirage au sort de la tombola, la main innocente de notre petite mascotte « Estelle » a permis de sortir le numéro gagnant du billet Paris- Tana aller retour.
Il est vrai que derrière l’air de fête, a priori bien affiché, nous décryptons dans cette aventure une dévotion exemplaire de la communauté FJKM Wagner qui veut rendre à César ce qui appartient à César.. et .. Pourquoi pas rendre à nos « Mpitandrina misotro ronono » une retraite aux petits laits bien pasteurisés.
Textes et images : Augustin ANDRIAMANANORO
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Enfin la liberté !
Le dramaturge Abel Andriarimalala a laissé exprimer sa plume au grès de l’histoire en mélangeant parfois, larmes et sourires…et parfois même de la comédie.
Madagascar a maintenant son drapeau et son hymne national, symboles d’un état indépendant et souverain. Mais l’indépendance de Madagascar, proclamée le 26 juin 1960 par le Général de Gaulle, n’était pas un cadeau de l’Etat colonial. Elle est avant tout, le fruit d’une longue lutte et des revendications de tous les Malagasy de l’époque qui voulaient se franchir des jougs coloniaux.
Quelques chants patriotiques et poème de Georges Andriamanantena, alias RADO illustrent cette fresque dramatique d’Abel Andriarimalala. Un tableau de l’histoire malgache qui ne se résume pas dans l’abstrait, à l’image même du décor délicatement peint par l’artiste Jean Michel Razanatefy.
Nous avions pu admirer la chorégraphie, habillant cette pièce théâtrale « Tiako ianao ry Taniko » par les jeunes de l’école de dimanche encadrés par Holy, Tiana, Nivo, Lala et Lita.
La section femmes « Sampana vehivavy » de la FJKM Wagner a bien défendu l’image des femmes malgaches de toutes origines. Elle a montré au public, la richesse d'un peuple, l'unité d'une Nation dans la diversité et non loin de la différence éthique. A noter également la participation active d’Hippolyte Rabary de Clichy de Madagascar qui nous dévoile son talent de comédien et chorégraphe pour cette représentation scénique.
Madagascar a maintenant son drapeau et son hymne national, symboles d’un état indépendant et souverain. Mais l’indépendance de Madagascar, proclamée le 26 juin 1960 par le Général de Gaulle, n’était pas un cadeau de l’Etat colonial. Elle est avant tout, le fruit d’une longue lutte et des revendications de tous les Malagasy de l’époque qui voulaient se franchir des jougs coloniaux.
Quelques chants patriotiques et poème de Georges Andriamanantena, alias RADO illustrent cette fresque dramatique d’Abel Andriarimalala. Un tableau de l’histoire malgache qui ne se résume pas dans l’abstrait, à l’image même du décor délicatement peint par l’artiste Jean Michel Razanatefy.
Nous avions pu admirer la chorégraphie, habillant cette pièce théâtrale « Tiako ianao ry Taniko » par les jeunes de l’école de dimanche encadrés par Holy, Tiana, Nivo, Lala et Lita.
La section femmes « Sampana vehivavy » de la FJKM Wagner a bien défendu l’image des femmes malgaches de toutes origines. Elle a montré au public, la richesse d'un peuple, l'unité d'une Nation dans la diversité et non loin de la différence éthique. A noter également la participation active d’Hippolyte Rabary de Clichy de Madagascar qui nous dévoile son talent de comédien et chorégraphe pour cette représentation scénique.
La FJKM Wagner ne fait pas les choses à la moitié. Pour différer l’ambiance entre les trois actes, quelques rafraîchissements et des « Mofo gasy » ont été mis à la disposition du public. Et avant de boucler la fête, place aux surprises…
Mme Hanta Randriamora, remercie publiquement les partenaires officiels de la FJKM Wagner dans cette opération : L’agence Comptoir de Madagascar représentée par Mme Blandine Andriambololo-Nivo et le Partenaire en communication Madagate.com représenté par votre serviteur Augustin Andriamananoro.
Lors du tirage au sort de la tombola, la main innocente de notre petite mascotte « Estelle » a permis de sortir le numéro gagnant du billet Paris- Tana aller retour.
Il est vrai que derrière l’air de fête, a priori bien affiché, nous décryptons dans cette aventure une dévotion exemplaire de la communauté FJKM Wagner qui veut rendre à César ce qui appartient à César.. et .. Pourquoi pas rendre à nos « Mpitandrina misotro ronono » une retraite aux petits laits bien pasteurisés.
Textes et images : Augustin ANDRIAMANANORO
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