Mialy Rajoelina: l'exemple doit venir d'en haut
Gymnase couvert d'Ankorondrano, Antananarivo, le 7 juillet 2011. L'Onu, à travers l'Oit, l'Ue, l'Etat malgache et plusieurs associations oeuvrant dans le domaine, ont célébré la Journée mondiale contre le travail des enfants (JMTE). Quels commentaires à faire ? Peu. La volonté est omniprésente mais reste le volet intendance basé sur les ressources humaines et financières. C'est bien d'aligner des chiffres lugubres mais encore faut-il reconnaître que tout le monde fait son possible. Eradiquer ce fléau serait presque utopique dans un pays où tout est priorité et où le système social a été totalement à la merci et tributaire des dirigeants et des partis politiques. 51 ans d'indépendance (dépendance économique plutôt) et quatre présidents "élus", ont fait du peuple de la Grande île de l'océan Indien, un peuple de portefaix. C'est la réalité. Mais, avec les dirigeants jeunes acuels, qui représentent l'avenir, l'espoir de soulager les souffrances et de restreindre les carences est réelle. Il faut agir, ici et maintenant ! Comme l'a crié, Mialy Rajoelina actuelle Première Dame de l'Etat, Présidente de l'association Fitia: " STOP! AOK'IZAY! ". Ci-après les deux albums photos de cette journée pas comme les autres pour près de 1.000 enfants de la Capitale de Madagascar.
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Jeannot RAMAMBAZAFY