Tiens, la petite peste, intrigante de bas étage, vient de mettre de l’eau dans le moulin de ses pures conneries de magistrate déchue pour avoir insulté les forces de l’ordre de Madagascar (ICI). Sa quête de la nationalité française n’effacera jamais, en aucun cas et pour l'éternité, ses semblants « d’investigations » alimentées par certains de ses pairs encore en service au tribunal d’Anosy, qui lui servent des plats pourris et nauséabonds.
La semaine passée, elle a publié sur sa page Facebook pas moins de 12 documents au format PDF pour tenter de prouver que le P-Dg de groupe Sodiat, Mamy Ravatomanga, avait fait du trafic de bois de rose, il y a 10 ans. Bien évidemment, son auditoire a gobé l’histoire, n’ayant ni la volonté ni les moyens de faire une quelconque vérification. Cette démarche fait suite au face-à -face entre M. Ravatomanga et trois journalistes de chaînes audiovisuelles malagasy diverses, lors d'une émission diffusée dans la soirée du 1er avril 2022.
En fait, la Reine (des pommes) c’est cette ancienne charmante présidente du Syndicat des magistrats de Madagascar (SMM) -qui a perdu son poste à cause de son penchant très prisé pour le mépris d’autrui. Les autres ? Tous des moins que rien selon cette sainte nitouche qui fréquenta, pourtant, l'église protestante réformée Fjkm d'Ankadifotsy, en famille...
Dans le courant de l’année 2012, d’avril à octobre, alors qu’elle achevait une formation au CESD (Centre d’Etudes Diplomatiques et Stratégiques) de Madagascar -dont cette future intrigante mal ba...rrée n’a retenu aucune leçon-, un certain Patrick Zakariasy a effectué une série de points de presse à Toamasina et Antananarivo pour accuser Mamy Ravatomanga, « preuves à l’appui », de pratiquer le trafic de bois de rose. Ce dernier porta plainte contre le Zakariasy en question mais aussi contre les journalistes qui avaient relayé ce qui a été dit lors de ces points de presse, dans leur journal respectif.
Quelques phrases entendues de la bouche de Patrick Zakariasy, lors du point de presse à l’Hôtel Colbert à Antananarivo, le 12 octobre 2012 :
" La société Mainland Mining n’exploite pas uniquement de l’ilménite, mais pratique également l’exportation illicite de bois de rose… ". Il a implicitement nommé la société d’exploitation d’ilménite Mainland Mining qu’il a accusé d’être derrière les trafics de bois de rose, de mèche avec une société appartenant à Mamy Ravatomanga," un grand opérateur économique malgache ". Le tangalamena Patrick Zakariasy a aussi révélé la participation et la mainmise " d’un multimilliardaire national " (sic) sur la société Mainland Mining. Ceci, par l’entremise de sa société Sodiatrans. " Ces deux sociétés font des combines et forment un partenariat inébranlable : l’une fait des exportations sous la couverture de l’Etat malgache, tandis que l’autre falsifie les documents pour les déclarations en douane dans les pays destinataires ". Toutes ses assertions s'appuyant sur des " pièces justificatives " indiquant l’exportation de 10 lots d’ilménite dans des conteneurs de 20 pieds pesant chacun 30 tonnes.
Selon Patrick Zakariasy, " les déclarations sont restées inchangées à l’embarquement de ces containers. Cependant, des chiffres différents sont portés sur le certificat phytosanitaire : 1252 pièces de bois de Madagascar soit 202 tonnes 855 kilos de bois… ". Il a, alors, accusé la société Mainland Mining de " fausse déclaration, de faux et usage de faux, de falsification de documents, de corruption et trafic d’influence au niveau d’un réseau de mafia impliquant plusieurs responsables et institutions ".
Suite à ces déclarations, Mamy Ravatomanga porta plainte. L’enquête au fond débuta le 21 novembre 2012. Motifs de la plainte : faux en écriture de commerce, faux en écriture publique, déclaration de fausse nouvelle de nature à troubler l’ordre public, diffusion de nature à porter atteinte à l’honneur d’une personne, diffusion de fausse nouvelle susceptible de troubler la paix publique.
Si les journalistes impliqués ont bénéficié d’une liberté provisoire, Patrick Zakariasy, lui, a été placé sous mandat de dépôt à la prison d’Antanarimora, du 13 novembre 2012 au 03 janvier 2013.
Mis en liberté provisoire, son jugement a eu lieu le 16 juillet 2013, en audience correctionnelle publique, devant le Tribunal de Première instance d’Antananarivo. Le verdict à retenir est le suivant :
Sieur Zakariasy Patrick a été déclaré coupable de faux et usage de faux en écriture publique et en écriture de commerce. Il a été également été déclaré coupable de diffamation. Pour le verdict tout entier, c’est le fac-similé suivant, extrait du jugement du 13 juillet 2013 (en PDF ICI -page 1- et ICI -page 2-).
A la suite de ce verdict, Sieur Zakariasy n’a jamais saisi la Cour de cassation pour faire un pourvoi en cassation. Depuis, le délai en pourvoi est largement dépassé.
Mais, durant le week-end dernier (2-3 avril 2022), voilà -t-il pas que l’intrigante Fanirisoa Ernaivo, a publié les documents avérés faux lors du procès d’il y a 9 ans. Onze documents au total, fournis par ses espions du tribunal d’Anosy, aussi introvertis qu’elle. Qu’ils dorment tous très mal car quelques-uns sont déjà identifiés. Surtout après leur sale coup d’enregistrement sur Imbiki Herilaza...
Attisée par la haine, aveuglée par on-ne-sait quelle vengeance, Madame Ernaivo ex-ceci et cela, a totalement oublié ce qu’autorité de la chose jugée signifie. Comme le dit le dictionnaire bien français Dalloz : "L'autorité de la chose jugée peut être définie comme une force exceptionnelle conférée par la loi aux décisions juridictionnelles, qui une fois prononcées bénéficient du principe de l'immutabilité interdisant de remettre en cause ce qui a été définitivement jugé". En ce début de semaine, elle, ancienne Présidente du Syndicat des magistrats de Madagascar, voilà qu'elle exige une enquête sur la même affaire qui a condamné Patrick Zakariasy. Fanirisoa a-t-elle vraiment étudié le Droit ?
Pire encore, elle ose publier des documents vieux de 10 ans sachant qu'ils ne mentionnent rien de bien "exceptionnel" et, quand bien même, ils n'auront jamais aucun impact sur l'autorité de la chose jugée. Mais çà , son maigre auditoire de lecteurs peu au courant de la res publica l'ignore, comme elle l'ignore elle-même, c'est certain.
Plus rien n'arrête donc cette créature malfaisante depuis qu'elle s'en est prise aux enfants du Président Andry Rajoelina (ICI). En fait, c'est sa vraie cible, Mamy Ravatomanga n'est, dans son esprit biscornu, qu'une sorte de brèche pour l'atteindre. Elle doit également ignorer ce que signifie "effet boomerang", c'est clair. Comme elle fait fi de la justice immanente.
A quoi diable lui a donc servi d’avoir été certifié sans mention au CEDS en 2012 ? A étoffer un CV pour mieux tromper les gogos de France et de Navarre ? Comme le pauvre Laurent Mairesse à qui elle a fait croire ce qu’elle n’a jamais été et ne sera jamais (ICI).
Dans ce contexte, l’ex-magistrate malgache déchue en quête de la nationalité française, plaidant pour le titre de « réfugiée politique » (ahahaha!!!), s’est mise à me menacer de me traduire en justice, en me traitant "d’employé" de qui elle sait. Houlalala que j’ai peur ! Elle ne demande rien que de "RETIRER IMMÉDIATEMENT ET SANS DÉLAI" tous les articles que j’ai écrit sur elle, publiés sur madagate, car "elle ne peux plus tolérer que des articles de ce genre puissent rester comme çà impunément". Sinon : "ce sera la justice qui me (moi Jeannot Ramambazafy) convaincra".
Je ne publie pas ses messages aujourd’hui. Elle qui adore les « tantara mitohy », elle va être servie. A suivre donc. Mais, moi, je n’utilise jamais le mensonge et les faux documents. En tout cas, il est étrange qu’elle se soit exprimé en français alors que pour jeter son venin de vipère sur Facebook c’est son « salegache » qu’elle utilise.
Comparez avec sa photo au CEDS, il y a 10 ans, une éternité...
En tout cas, comme beaucoup de lectrices et lecteurs de par le monde, cette pimbêche de même pas 45 ans qui a l’air, maintenant, d’une mémé fripée de 60 ans (ci-dessus) -la laideur de son esprit transparaissant sur son visage-, lit aussi madagate : ICI.
Jeannot Ramambazafy
Antananarivo, le 05 avril 2022