N’ayant plus rien à perdre (il n’est plus du tout en forme -médicalement parlant-), Jean Louis Robinson a déjà sur sa conscience, la volonté d’attiser la haine entre les Malagasy. Il ne pourra jamais l’emporter au paradis… des parjures (lire le serment d’Hippocrate plus bas).
En s’embarquant dans des détails et en ayant embarquer des « témoins » à charge contre les électeurs eux-mêmes, Jean Louis Robinson vient de créer un « ravalomananisme » nouvelle formule.
En effet, à quoi à servi cette « conférence de presse » de presse au Carlton Anosy, ce 30 décembre 2013, durant deux heures -et retransmise en direct sur Tv Plus Madagascar et Ma-Tv ? A rien, sinon à vouloir semer le doute dans les esprits faibles et semer le chaos purement et simplement. Sous le couvert de la "liberté d'expression démocratique".
Gilbert Raharizatovo, ministre de l'info de la HAT, animateur du diable, opportuniste qui n’a jamais craché sur des sous, sans tenir compte des résultats de sa "mission". Il est même capable d’aller me trainer en justice…
Raymond Ranjeva (3è à partir de la gauche) qui a eu l'impudence de dire qu'il était là "par hasard"... A l'extrême-droite, Me Hanitra Razafimanantsoa, suivie de la pauvre Marcelle Robinson qui baisse la tête... Derrière eux, un ramassis d'intellectuels qui se croient des créatures d'exception, au-dessus du commun des Malagasy. Attention au dur réveil (après le réveillon) les gars ! Il n'y a qu'une seule et unique vérité
Saraha Georget et Jean Louis Robinson : La belle et le bête...
Mais ce n’est pas l’appui de Gilbert Raharizatovo (ex-journaliste qui a accepté le poste de ministre de l'Information de l'ex-HAT, et qui s'est recyclé en mercenaire politique chèrement payé, sous couvert du titre pompeux d'analyste politique), qui changera grand-chose. Et voilà -t-il pas que ce Gilbert a osé, il a eu le culot de déclarer que ce sont les médias étrangers qui ont parlé -en premier- de « fraudes massives ». Ce qui m’a incité à changer de chaîne illico presto, car c’est prendre les ambassadeurs présents pour des cons. C’est Jean Louis Robinson qui, le 21 octobre 2013, a déclaré, devant la presse locale et internationale qu’il était victime de fraudes électorales devenues « fraudes massives ». En tout cas, ils ont mis le paquet, avec des « invités » comme Raymond Ranjeva (un « Andriana » et beau-père de Saraha Georget car frère de sa belle-mère Jacqueline, enterrée à Paris) et la fratrie des francs-maçons malgaches et d’ailleurs. Ceux qui ont toujours perdu des occasions en or pour se taire, après s’être terrés...
Ces gens-là , qui se croient extrêmement intellectuels, sont-ils vraiment Malagasy ? Le doute est permis. Le peuple majoritaire n’en a que faire de leurs démonstrations de mauvaise foi, avec des bouts de papiers, des chiffres et de la phraséologie qui n’épateront jamais qu’eux-mêmes. Si Ravalomanana et Robinson sont de mauvais perdants, c’est dans leur nature.
Car qui croient-ils influencer ? En matière de contention juridique, seules comptes les preuves matérielles plausibles et non le bla-bla-bla de tradition orale. A force de faire du forcing, on reçoit forcément un retour de bâton dont on ne se relèvera pas de sitôt. Vouloir influencer aussi les membres de la CES de cette manière est totalement dénué d’intelligence. Après cette démarche inutile, les membres de la CES, qu’ils prennent donc aussi pour des cons, refuseront même des milliards en ariary. La fierté mise à bas, comme la mort, ne s’achète absolument pas.
Vous voulez connaître le fin mot de l’Histoire de ce second tour de l’élection présidentielle 2013 à Madagascar ? Rappelez-vous l’adage : « Les chiens aboient, la caravane passe ». Ils vont tous passer une très mauvaise nuit de la Saint-Sylvestre, en tout cas. Car, pour l’heure, les Malagasy se contrebalancent de leur trop plein d’intelligence qui va les mener au surmenage. Les Malagasy vont célébrer l’entrée dans une nouvelle année. Robinson, Ravalomanana et leur clique ont eu tort d’avoir voulu gâcher ce moment qui ne se présente qu’une fois par an. Et beaucoup, comme moi, ont préféré zapper sur une autre chaîne. En effet, pas la peine d’écouter ces « êtres supérieurs » plus longtemps. Il y a les préparatifs de fête qui sont prioritaires en ce moment de l’année. Pourquoi perdre encore deux heures de son temps si précieux ? Vraiment, ces intellectuels malgaches ne respectent plus rien, et sont capables de tout, lorsqu’il s’agit de défendre leurs petites personnes et leurs intérêts qu’ils ne pourront jamais emmener au tombeau. Un linceul n’a jamais eu de poches. Mais avec ce genre de créatures ridicules, il faut, désormais, s’attendre à tout.
En tout cas, la Communauté internationale et les centaines d’observateurs électoraux nationaux et internationaux, pour eux, sont donc tous complices aussi du candidat Hery Rajaonarimampianina. Ils ne le disent pas explicitement mais ils aggravent encore plus leur cas, en se mettant tout le monde à dos. Le monde entier...
En attendant leur déconfiture complète, je vous remets, ici, de larges extraits du serment d’Hippocrate pour ce docteur Robinson en totale déperdition. Et pour vous donner une idée de sa « noblesse d’esprit » style Louis VIX (qui a dit : après moi le déluge).
Et à bon entendeur, salut !
Jeannot Ramambazafy – 30 décembre 2013, 21h30
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Le dernier éditorial pour l'année 2013 de Franck Raharison (La Gazette de la Grande île) qui a été mon Rédacteur en Chef durant les 17 ans que j'ai passé chez Rahaga Ramaholimihaso, à Madagascar Tribune (1998-2005)
EDITORIAL: Média malgache à la traîne ?
Mardi, 31 Décembre 2013 07:06 |
Après des années d’insolence –cela a commencé, précisément à « Madagascar Matin » dans une rubrique hebdomadaire, intitulé « Espace Matin », dans les années 1980 - votre serviteur n’entend pas, au seuil de 2014, lâcher prise. L’impertinence semble toujours être son fond de commerce, même lorsqu’il traite des sujets qualifiés de sérieux. Néanmoins, il n’est pas un agitateur professionnel. Il prône parfois la désobéissance civile, sans pour autant appeler le peuple à se révolter contre le régime en place. Il fait du journalisme mais pas du militantisme, contrairement à certains de ses confrères qui, malgré tout, sont restés ses amis. L’année 2014 est celle du changement, des réformes des institutions, sinon de la modernisation de l’Etat. Cependant, quelques politiques refusent toujours de croire que leur plan de carrière s’arrête au début du nouvel an. Ceux-ci, avec l’appui de certains quotidiens, s’acharnent à casser le processus électoral, comme Jean-Louis Robinson, Mamy Rakotoarivelo, Hanitra Razafimanantsoa, Hanta Randriamandranto, Guy Rivo ainsi que toute la clique Ravalomanana… Que le monde a changé. Dans le passé, on n’agissait guère ainsi. La classe politique respectait à l’époque une certaine éthique. Aujourd’hui, un candidat, qui se dit appartenir à la caste supérieure de l’île, inconnu du grand public il y a encore quatre mois, s’est permis d’annoncer à l’opinion publique et à la communauté internationale, dès la soirée du second tour, qu’il a gagné. Hier soir encore, sans vergogne, il a confirmé ses âneries, lors d’un simulacre conférence de presse au Carlton. Mais pourquoi Gilbert Raharijatovo a-t-il accepté de faire le guignol pendant cette émission ? La présence de Sarah Georget et celle de Raymond Ranjeva sont, dans une certaine mesure, compréhensibles, sinon naturelles. Et pour cause… Le poulain de Marc Ravalomanana considère la plupart des médias comme ses dévoués, voire ses « bonnes à tout faire ». De toute manière, les téléspectateurs n’ont pas, hier, été dupes : l’invité spécial de TV Plus, devait une… fois de plus décevoir. Pourtant, l’homme a été sobre. Signalons que des partisans de Jean-Louis Robinson se sont, hier, manifestés sur Internet, à travers un e-mail « Hetsika handrodanana ». Que veulent-ils exactement ? Un coup d’Etat ? Chiche ! A part quelques journalistes, les vrais professionnels, les anciens, ceux qui ont une déontologie à toute épreuve (ils se reconnaîtront), se sont mis à l’écart de ces joutes électorales, En somme, à cause de ces élections, la presse malgache n’est plus ce qu’elle était… Franck RAHARISON (de face sur la photo ci-dessus) |