Magro Behoririka, le 11 janvier 2014. Jean Louis Robinson, l’énergumène qui se fait un vrai western… la noirceur de son esprit a déteint sur son visage devenu laid à faire peur
Bisons sauvages enfermés dans un corral en Alaska
On n’en aura jamais fini avec ce docteur-judoka qui ne mérite plus ces titres, tellement il s’est éloigné des notions d’honneur et de fair-play. N’ayant plus rien à perdre, alors qu’il avait maintes fois eu la chance de fermer son clapet, voici sa dernière menace : « Mangataka ny hanisana ny vato izahay fa raha tsy izay sokafanay ny vavahady » (Nous demandons le recomptage des bulletins sinon nous allons ouvrir le portail).
Avec son chapeau noir, Jean Louis Robinson se prendrait-il pour Burt Lancaster par hasard ? Après avoir ouvert le portail du corral, il va suivre la horde sauvage les armes à la main alors. En français, le titre de ce film est : Règlement de compte à O.K. Corral (le 26 octobre 1881)
Si l’on suit bien son idée et vu son accoutrement ce jour-là (samedi 11 janvier 2014), le Magro Behoririka n’est qu’un corral où sont parqués des animaux extrêmement dangereux, genre bisons sauvages ou zébus affamés, qui, une fois libérés, iront piétiner et tout saccager sur leur passage ? On savait le toubib friand du vocabulaire bestiaire en public mais là encore, il a prononcé la phrase de trop. Après avoir traité les révolutionnaire de 2009 de crustacés (écrevisses qu’il allait frire pour avoir la couleur orange), voilà donc qu’il traite les gens de son propre camp (ce qui est à voir), d’animaux en captivité -sans âme ni cervelle donc- qui n’attendent que l’ouverture du portail pour se défouler. Vraiment pas fortiche ce candidat qui entend diriger la IVème république de Madagascar. Il a vraiment intérêt à se faire vite soigner et, encore une fois, ceci pour lui :
Les paroles de la bouche du sage sont pleines de grâce ; mais les lèvres de l'insensé causent sa perte. Le commencement des paroles de sa bouche est folie, et la fin de son discours est une méchante folie.
L'insensé multiplie les paroles. L'homme ne sait point ce qui arrivera, et qui lui dira ce qui sera après lui ? -L’Ecclésiaste 10 : 12, 13, 13-
Jeannot Ramambazafy – 15 janvier 2014