Le pacte plus citoyen qui suit, obligera les futurs prĂ©sidents de la rĂ©publique Ă faire preuve dâhonnĂȘtetĂ© pragmatique pour abandonner toute forme dâassujettissement Ă lâadage malgache : « miala anâAnkatso dia Ambohidepona » (qui signifie littĂ©ralement aller de Charybde en Scylla).
- Démission du président de la république en cas de non création de la haute cour de justice;
- Pas dâarrestation en cas de revendication populaire de la mise en place de la haute cour de justice ;
- Cette revendication peut ĂȘtre faite par la pĂ©tition citoyenne ou par la descente dans la rue ;
- Participation citoyenne Ă lâĂ©laboration des lois organiques et au contrĂŽle des textes dâapplication des droits fondamentaux ;
- Cette collaboration citoyenne pourra ĂȘtre accompagnĂ©e par une revendication populaire en cas dâimmobilisme ou de mutisme ou dâindiffĂ©rence des autoritĂ©s pendant un dĂ©lai de un an Ă 2 ans ;
- Droit public de lâĂ©conomie et droit public des affaires pour pouvoir faire face Ă la mondialisation ;
- Débat sur la réforme de nos finances publiques ;
- SystÚme public de protection sociale ;
- Politique budgétaire et équilibre de la balance de paiements ;
- SystĂšme dâaide pour les districts, les rĂ©gions, les communes, et pour les agriculteurs ;
- Transparence sur la hausse des dĂ©penses de lâEtat, sur les comptes dâaffectation spĂ©ciale, sur les comptes spĂ©ciaux du trĂ©sor ;
- Budget annexe pour lâagriculture (85% de la population Ă©tant des paysans)Â ;
- Consensus relatif Ă lâautonomie comptable et budgĂ©taire de certains ministĂšres et dâautres organismes (comme le ministĂšre des postes et tĂ©lĂ©communication) ;
- Transparence sur les recettes accidentelles (en période de cyclones par exemple) ;
- Transparence sur la procédure de fonds de concours pour savoir les sommes versées au pouvoir central par les régions, districts et communes ;
- Aide aux paysans pour la régulation des marchés ;
- Ordre du jour annuel relatif à la négociation avec les syndicats pour débattre la politique salariale ;
- Clause de sauvegarde permettant des ajustements a posteriori des salaires en cas dâinflation galopante ;
- Amélioration de la démocratie parlementaire par la démocratie citoyenne ;
- Dénonciation des artifices juridiques du parlementarisme rationnalisé ;
- Obligations de conformitĂ© des lois organiques prises par voie dâordonnance aux aspirations et aux prioritĂ©s du peuple et surtout des coins de lâĂźle dĂ©laissĂ©s depuis des dĂ©cennies ;
- Transparence sur les arrĂȘtĂ©s de transfert et de virement de crĂ©dits ;
- Pas de pression politique à la cour des comptes ;
- Un pacte national de lâemploi ;
- Transparence sur le compte dâaffectation des produits de la privatisation et sur la caisse dâamortissement de la dette de lâEtat ;
- ContrĂŽle strict des dĂ©crets dâavance pris par le gouvernement ;
- Transparence sur le rĂ©gime juridique de ces dĂ©crets dâavance, sur les dĂ©penses de lâEtat faites par le truchement des prĂ©lĂšvements sur le crĂ©dit global pour dĂ©penses Ă©ventuelles ;
- VĂ©rification stricte des dĂ©penses de lâEtat non inscrites malhonnĂȘtement dans la loi de finances (exemple : les budgets dits extraordinaires) ;
- Précision du régime juridique du budget annexe ;
- Compétence et droit absolu de la cour des comptes de critiquer les conditions afférentes à la compensation et au transfert du budget annexe au budget général :
- Gestion rigoureuse des budgets annexes ;
- ContrÎle strict de comptes spéciaux du trésor par les parlementaires ;
- Transparence sur la gestion des fonds dâapprovisionnement, dâamortissement, de provision ;
- Transparence sur le compte de commerce, sur le compte du rÚglement qui contient les opérations conclues avec les gouvernements étrangers ;
- Transparence sur les comptes dâopĂ©rations monĂ©taires contenant les opĂ©rations de change, les opĂ©rations avec le fonds monĂ©taire internationale, les Ă©missions des monnaies ;
- Transparence sur le rĂ©gime juridique des « comptes dâavances », sur les fonds de concours provenant des financements des personnes privĂ©e et morale ;
- Interdiction de transfĂ©rer le financement de certains investissements de lâEtat Ă des organismes de relais (donc interdiction de toute forme de dĂ©budgĂ©tisation opaque) ;
- Transfert inconditionnel de certaines compétences du pouvoir central vers les collectivités territoriales décentralisées ;
- Précision et transparence sur la réalisation de la décentralisation effective ;
- Inspection dâEtat concernant les dĂ©penses de lâEtat faites par le truchement des crĂ©dits provisionnels (ou par des crĂ©dits similaires) et les dĂ©penses du ministre des finances par le rĂšglement ;
- Transparence sur lâaugmentation des « crĂ©dits provisionnels » provenant du « crĂ©dit global pour dĂ©penses Ă©ventuelles », donc suivi des arrĂȘtĂ©s affĂ©rents du ministre des finances ;
- ContrĂŽle rigoureux des « chapitres rĂ©servoirs » dans le budget du ministĂšre des finances, donc suivi de la rĂ©partition faite par lâarrĂȘtĂ© du ministre des finances ;
- ContrĂŽle strict de la loi de finances par la haute cour constitutionnelle, donc nĂ©cessitĂ© de techniciens financiers Ă©lus par le peuple pour Ă©viter lâallĂ©geance politique trop partisane au sein de cette derniĂšre ;
- Repenser la nomination des membres de la haute cour constitutionnelle ;
- Prise de dĂ©cision de la haute cour constitutionnelle concernant la compĂ©tence des parlementaires pour contrĂŽler les traitĂ©s qui engagent le budget de lâEtat ;
- Transparence sur les dĂ©cisions prises en dehors du budget de lâEtat (« cavalier budgĂ©taire ») ;
- Institution Ă©tatique ou autoritĂ© judiciaire oĂč lâon peut dĂ©poser une requĂȘte contre un « texte rĂšglementaire » qui modifie les crĂ©dits dĂ©jĂ votĂ©s par les parlementaires ;
- Pleine compĂ©tence de la cour des comptes pour contrĂŽler lâexĂ©cution de lâutilisation du budget, donc repenser aussi la nomination des membres de la cour des comptes pour assurer leur impartialitĂ© et leur neutralitĂ© politique, et surtout pour garantir la qualitĂ© et la rigueur de la gestion budgĂ©taire ; pour Ă©viter tout jeu dâĂ©criture malhonnĂȘte donnĂ© en temps rĂ©el toutes les informations relatives aux recettes de lâEtat de lâannĂ©e prĂ©cĂ©dente ; concernant lâĂ©laboration du choix du budget, mise au courant des parlementaires afin que ces derniers puissent dĂ©fendre les prioritĂ©s de leurs rĂ©gions (ceci suppose que chaque dĂ©putĂ© doit ĂȘtre assistĂ© par un technicien financier) ;
- Conformité de la loi de finances au choix démocratique ;
- Transparence sur les opérations financiÚres faites par le gouvernement en dehors de la loi de finances ;
- Changement de vision relatif aux « masses budgétaires » ;
- ContrÎle des parlementaires et des citoyens concernant les comptes spéciaux du trésor et les budgets annexes ;
- Concernant le contrĂŽle de la loi de finances par les parlementaires, ces derniers devront dĂ©battre le rapport relatif à « lâĂ©quilibre Ă©conomique et financier », la politique Ă©conomique, la politique budgĂ©taire ;
- Mettre en annexe de la loi de finances le rĂ©sultat du contrĂŽle des recettes de lâEtat et le rapport relatif aux financements destinĂ©s au dĂ©veloppement Ă©conomique et social ;
- Mettre en annexe de la loi de finances les explications transparentes relatives aux comptes spĂ©ciaux de trĂ©sor, aux crĂ©dits de chaque ministĂšre, Ă lâaugmentation des dĂ©penses de lâEtat (autorisation de programme et crĂ©dits de paiement) ;
- DĂ©battre Ă©galement donc Ă lâassemblĂ©e nationale lâannexe de la loi de finances ;
- Amélioration des techniques de choix budgétaire ; durant le débat pour le vote de la loi de finances, il faut un rapporteur chargé des comptes spéciaux du trésor ;
- CompĂ©tence de la commission de finances de lâassemblĂ©e nationale Ă proposer des contre-projets ;
- CompĂ©tence du rapporteur de cette commission de finances pour contrĂŽler lâexĂ©cution de la loi de finances, donc repenser aussi sa nomination pour quâil ne soit pas victime de pression politique ;
- Adéquation de la loi de finances aux priorités vouées à faire sortir la majorité de la population de la pauvreté ;
- Repenser alors le vote dâensemble classique de la loi de finances pour Ă©viter les gaspillages sans scrupules ; amĂ©lioration de la rĂšgle du vote par titre et par ministĂšre des autorisations nouvelles des dĂ©penses de lâEtat ;
- Transparence sur toute forme de « procĂ©dure dâurgence » autorisant des dĂ©penses de lâEtat ;
- Mettre dans la constitution lâobligation dâencadrement et les conditions de la discussion affĂ©rente Ă la loi de finances, lâĂ©laboration de celle-ci exigeant de technicitĂ©Â ;
- Transparence sur les manipulations insĂ©rant dans de simples textes les dispositions vouĂ©es Ă ĂȘtre juridiquement dans la loi de finances, donc suivi trĂšs sĂ©rieux de la procĂ©dure lĂ©gislative subsidiaire et des dispositions Ă©trangĂšres Ă lâobjet financier du budget ;
- Refonte de la rĂšgle du vote unique des services votĂ©s pour contrecarrer les dĂ©penses de lâEtat « fictives » (dĂ©mocratie parlementaire Ă amĂ©liorer) ;
- Cibler dâabord les solutions de fond pour empĂȘcher toute prĂ©cipitation malveillante pour rĂ©partir les crĂ©dits dans les ministĂšres ; chaque ministre tenu de mettre dans le dĂ©bat lâessence vĂ©ritable de son choix politique et non donner globalement son projet politique ;
- LâexĂ©cution de la loi des finances en phase avec lâĂ©volution des rĂ©alitĂ©s Ă©conomiques et des finances publiques ;
- Transparence sur les « crédits globaux » ;
- Respect du code budgétaire de chaque chapitre au cours de la répartition des crédits ;
- Contrebalancer le pouvoir excessif du gouvernement pendant lâĂ©laboration du projet de loi de finances, Ă©quilibrer donc le « pouvoir discrĂ©tionnaire du gouvernement » ;
- ContrĂŽle mĂ©ticuleux des dĂ©crets qui rĂ©partit les crĂ©dits, en lâoccurrence suivi de lâoctroi de budget annexe Ă certains chefs de service impliquĂ©s dans le rĂ©seau de complicitĂ© avec le ministre des finances ou le premier ministre ;
- Suppression de pouvoirs spéciaux de quelques ordonnateurs adjoints membres de ce réseau ;
- Inspection des virements dâĂ©critures, des maniements de titres, faits par les comptables du budget de lâEtat ;
- Passer dans le débat la gestion des ordonnateurs et des comptables publics, et de la chambre des comptes ;
- Inspection des comptables du trĂ©sor, des comptables des comptes spĂ©ciaux du trĂ©sor et des budgets annexes, des agents comptables chargĂ©s de la dette de lâEtat ;
- Inspection des rĂ©seaux des comptables (trĂ©soriers payeurs gĂ©nĂ©raux, receveurs et receveurs percepteurs, receveur des douanes, comptables spĂ©ciaux du trĂ©sor, payeur gĂ©nĂ©ral des armĂ©es, trĂ©sorier payeur gĂ©nĂ©ral pour lâĂ©tranger et agents payeurs dans les missions diplomatiques, greffiers comptables des Ă©tablissements pĂ©nitentiaires, agents comptables des crĂ©ances contentieuses du trĂ©sor, etc.) ;
- Compétence des parlementaires de contrÎler le compte du trésor inscrit dans le livre de la banque centrale qui contient toutes les recettes provenant de tous les comptables publics ;
- ContrÎle de la gestion des comptables publics et de la banque centrale ;
- Amélioration du régime juridique des comptables ;
- Inspection des dĂ©penses faites par le ministre des finances en dehors de lâordonnancement ; suivi de lâordonnancement de rĂ©gularisation des dĂ©penses aprĂšs paiement ;
- DĂ©mantĂšlement des rĂ©seaux de complicitĂ© des comptables publics, des ordonnateurs du budget de lâEtat et des contrĂŽleurs financiers ;
- Au niveau de chaque ministĂšre, inspection gĂ©nĂ©rale de lâadministration en charge du contrĂŽle de la gestion de lâordonnateur du budget ;
- ContrĂŽle de la gestion de lâarmĂ©e ;
- Inspection de lâexĂ©cution du budget faite par lâinspection gĂ©nĂ©rale des finances ;
- Inspection générale du trésor et inspection fiscales : trÚs opérationnelles ;
- ContrĂŽle de lâinspecteur des finances sur la gestion des comptables et sur le respect par les ordonnateurs des rĂšgles de la comptabilitĂ© publique ;
- Mise en place des chambres de compte aux niveaux national et régional ;
- Informer le peuple du rapport annuel des chambres de compte aux niveaux national et régional ;
- Etroite collaboration de la cour des comptes, de lâassemblĂ©e nationale, du gouvernement, pour contrĂŽler sĂ©rieusement lâexĂ©cution de la loi de finances ;
- Donner aux journalistes la copie du rapport annuel de la cour des comptes ; cour de discipline budgĂ©taire et financiĂšre compĂ©tente pour juger la mauvaise gestion des ordonnateurs du budget de lâEtat ;
- Commission des finances de lâassemblĂ©e nationale rĂ©ellement compĂ©tente pour scruter lâexĂ©cution du budget de lâEtat ;
- Transparence sur la politique fiscale servant à améliorer la politique économique et sociale ;
- LâĂ©quitĂ© fiscale ;
- Bien informer la peuple des détails du code général des impÎts par des circulaires des autorités compétentes ;
- DĂ©battre les problĂšmes de fond de la fiscalitĂ©, comme lâefficacitĂ© Ă©conomique ou non des impĂŽts, leur impact sur lâĂ©conomie, etc. ;
- Transparence sur la gestion de la direction générale des impÎts, la direction de la comptabilité publique, la direction générale des douanes ;
- Le vote de la loi fiscale contrÎlé par la haute cour constitutionnelle ;
- Loi organique sur les finances publiques ;
- Dépenses fiscales destinées à faire des investissements ou épargne spécifique ;
- Débat sur la structure du prélÚvement fiscal ;
- Informer les parlementaires ou la société civile, les chefs de parti, les journalistes, du rapport fait par le conseil des impÎts ;
- Transparence sur le rĂ©sultat comptable et le bĂ©nĂ©fice comptable de toutes les entreprises aussi bien nationale quâĂ©trangĂšre ;
- Transparence sur le calcul de la paritĂ© des pouvoirs dâachat par le diffĂ©rentiel de lâinflation;
- Mesures pour faire face Ă lâinflation importĂ©e galopante ;
- DĂ©bat dĂ©mocratique sur les conditionnalitĂ©s imposĂ©es par les bailleurs de fonds, sur les dĂ©rives les plus extrĂȘmes de certaines devises ;
- StratĂ©gies permettant de mesurer lâimpact des variations du taux de change face au diffĂ©rentiel dâinflation entre Madagascar et ses partenaires ;
- Ajustement en temps rĂ©el du cours de la monnaie malgache face au diffĂ©rentiel dâinflation ;
- Sanction Ă tout investisseur qui se permet dâannuler le changement anticipĂ© concernant le taux de change ;
- Transparence sur la gestion des « obligations remboursables » octroyées par les pays partenaires ;
- DĂ©bat sur la paritĂ© des taux dâintĂ©rĂȘt st sur la paritĂ© des pouvoirs dâachat, sur lâarbitrage couvert sur taux dâintĂ©rĂȘt ;
- Discussion dĂ©mocratique sur la mĂ©thode dâanalyse du taux de change par la balance des paiements ;
- Mettre dans la balance des paiements tout financement exceptionnel offert par le FMIÂ ;
- Inspection dâun Ă©ventuel rĂ©seau de complicitĂ© dans lâĂ©laboration de la balance des paiements et du taux de change ;
- Transparence sur le financement du déficit de la balance courante de la balance des paiements ;
- Transparence sur les limites de collaboration de lâĂ©conomie malgache avec les capitaux Ă©trangers et les limites oĂč celle-ci est mise en otage par ces derniers ; passer dans le dĂ©bat les taux de change qui ne nuit pas notre Ă©conomie (taux de change flexibles administrĂ©s ou rĂ©gime de taux de change flottant ? ou rĂ©gime de change flottant contrĂŽlĂ©Â ? ou taux de change fixe ?; face Ă la mondialisation, stratĂ©gie dâanticipation dans les fixations du taux de change par le truchement des actifs du marchĂ© pour ne pas lĂ©ser les opĂ©rateurs Ă©conomiques malgaches ;
- Mesures de lutte contre la spéculation internationale ;
- StratĂ©gies pour amĂ©liorer la productivitĂ©Â ; possibilitĂ© dâune politique dâanticipation du taux de change par les opĂ©rateurs Ă©conomiques nationaux, la fixation du taux de change ne devant pas ĂȘtre exclusivement faite par les flux commerciaux dans la balance courante ;
- Détermination des moyens pour pouvoir suivre le marché de capitaux ;
- Dialogue entre les banques et les dirigeants pour parler au moins dâune Ă©ventuelle conversion de crĂ©ances bancaires en titres nĂ©gociables ;
- MĂ©canisme dâassurance collective du risque systĂ©mique ;
- ContrÎle du droit bancaire ; des spéculateurs responsables de la dévaluation excessive de la monnaie malgache à sanctionner ;
- Mise en Ćuvre de la fonction de stabilisation de la politique budgĂ©taire ;
- Politique de réinvestissement des capitaux octroyés par les bailleurs de fonds ;
- Partenariats sociaux et partenariats Ă©quilibrĂ©s pour que le pays ne soit pas victime dâun libĂ©ralisme dĂ©bridĂ© ou dâune libĂ©ralisation Ă©conomique sauvage ;
- VolontĂ© politique de revendiquer les conditions pour pouvoir faire face Ă lâinsuffisance de mobilitĂ© des capitaux ;
- Pas dâaveuglement aux pressions irrĂ©alistes de la concurrence Ă©conomique internationale ;
- Priorités sociales ; économie sociale et solidaire de marché pour préserver le « fihavanana malagasy » ;
- Méthode de prévision des crises de change ;
- Ecouter les experts comptables et les spĂ©cialistes dâaudit dâentreprises malgaches ;
- Code des investissements qui tient compte des prioritĂ©s vouĂ©es Ă amĂ©liorer le niveau de vie de la population malgache ; experts malgaches associĂ©s aux techniques dâĂ©valuation ;
- LibĂ©ralisation culturelle : de pair avec la vĂ©ritable dĂ©mocratisation de lâenseignement, donc augmentation des investissements destinĂ©s Ă amĂ©liorer les moyens scolaires et non « systĂšme dâentonnoir » et « concours malhonnĂȘtes » pour accĂ©der Ă lâuniversitĂ©Â ; ĂȘtre dĂ©complexĂ© pour revendiquer aux bailleurs de fonds les techniques de fond et les conditions garantes de lâefficacitĂ© de lâĂ©conomie de marchĂ©Â ;
- Débat pour un marché monétaire sain et une politique monétaire bien réglée ;
- Techniques pour protĂ©ger lâĂ©conomie du risque engendrĂ© par la mondialisation Ă©conomique et financiĂšre ;
- Transparence sur les conséquences de la mondialisation sur la croissance économique ;
- Moyens pour faire sortir les banques de la sous-capitalisation ;
- Négociateurs malgaches non frustrés devant les bailleurs de fonds ;
- Politique crĂ©atrice de marchĂ©s dâobligations dâentreprise, de marchĂ© de capitaux, de marchĂ©s dâobligations, pour ne pas ĂȘtre Ă la risĂ©e de la mondialisation ;
- Investissement sur la recherche ; dĂ©bat sur les conditions et les moyens susceptibles de faire entrer les opĂ©rateurs Ă©conomique dans lâĂ©conomie de lâinnovation ;
- Subventions aux opérateurs économiques nationaux ;
- Débat sur le rapport entre le commerce international et la croissance économique ;
- Précision du modÚle social malgache sur la croissance économique qui tient compte des réalités malgaches et donner des recommandations politiques trÚs claires ;
- Utiliser les impÎts sur une partie des bénéfices des sociétés étrangÚres pour les investissements en actions et en obligations des opérateurs économiques malgaches ;
- Véritable autorité de régulation des marchés ;
- VolontĂ© politique de dĂ©terminer les conditions oĂč se fonde la mondialisation Ă©quitable ;
- Changement facilitant lâaccĂšs des acteurs Ă©conomiques nationaux et des entreprises malgaches aux marchĂ©s, un tel changement sensĂ© Ă accroĂźtre et dĂ©fendre lâinvestissement et Ă rĂ©soudre le chĂŽmage ;
- DĂ©bat sur la libĂ©ralisation, sur la croissance Ă©conomique, sur les stratĂ©gies permettant Ă lâEtat dâaider le marchĂ© par lâincitation des opĂ©rateurs Ă©conomiques ;
- Une économie de marché permettant à notre politique fiscale de favoriser une performance économique ;
- Taxe dâapprentissage prĂ©levĂ©e sur les masses salariales de grandes entreprises pour aider les citoyens en Ă©chec scolaire ;
- DĂ©bat sur lâassurance chĂŽmage et sur lâassurance maladie et il nây a pas Ă ĂȘtre pessimiste lĂ -dessus parce que nos richesses pĂ©troliĂšres et miniĂšres peuvent nous faire gagner au moins 4 millions de dollars par jour ;
- Transparence sur la « théorie fiscale » mise en vigueur dans le pays ;
- Utilisation de la fiscalité comme instrument économique pour corriger les imperfections de marché ;
- Une politique fiscale qui scrute la mobilitĂ© des capitaux et des biens oĂč lâon trouve de diverses contraintes supplĂ©mentaires telles que la contradiction entre lâĂ©pargne et les taux dâintĂ©rĂȘt au plan international ;
- DĂ©bat sur lâeffet dâĂ©viction catastrophique par les taux dâintĂ©rĂȘt et par les taux de change ;
- Réalisation des droits économiques et sociaux ;
- Abandon de la deuxiĂšme forme du machiavĂ©lisme politique (qui a laissĂ© la majoritĂ© de la population sombrer dans lâignorance de ses droits) ;
- Fonds de sécurité sociale ;
- Politique de supervision prudentielle pour ne pas rendre lâĂ©conomie vulnĂ©rable vis-Ă -vis de toute crise Ă©conomique internationale ;
- Mettre dans le dĂ©bat les conditions dâefficacitĂ© de la politique budgĂ©taire ;
- Politique de soutenabilitĂ© des finances publique ; prĂ©cision de la politique ou lâĂ©conomie politique de la dette ;
- Politique fiscale vouĂ©e Ă lâamĂ©lioration de lâĂ©conomie, en lâoccurrence les instruments de production exigĂ©s par les prioritĂ©s sociales et Ă©conomiques ;
- Discuter la question de soutenabilité de la dette ;
- Acceptation de la capacité du secteur privé à prévoir les conséquences de la politique budgétaire ;
- Politique dâanticipation ;
- RĂ©vision de la dictature de la majoritĂ© Ă lâassemblĂ©e nationale ;
- Transparence sur les rĂšgles dâaffectation des excĂ©dents de recettes ;
- ComitĂ© dâaudit budgĂ©taire ;
- Transparence sur lâengagement des dĂ©penses hors bilan, sur les dĂ©penses spĂ©ciales de lâEtat, sur lâordre de rĂ©quisition opaque du premier ministre ;
- Pas question dâavaler la pilule amĂšre de toute politique macroĂ©conomique standard ;
- Transparence sur les « dettes souveraines » détenues et gérées par des banques étrangÚres ;
- La politique monĂ©taire en tant quâinstrument de rĂ©gulation macroĂ©conomique, dâoĂč lâimportance de nuancer lâindĂ©pendance de la banque centrale ;
- La banque centrale et la crĂ©ation dâemplois ;
- Transparence sur le « marchĂ© obligataire » (obligation Ă©mise par lâEtat pour financer son dĂ©ficit) ;
- Rapport entre les taux dâintĂ©rĂȘt fixĂ©s par la banque centrale et les aspirations du peuple ;
- Collaboration de la banque centrale avec les opérateurs économiques nationaux, la société civile pour discuter le taux directeur ou la politique monétaire standard imposée par les bailleurs de fond ;
- Politique créatrice de richesses ;
- Moyenne pondĂ©rĂ©e du taux de change et du taux dâintĂ©rĂȘt Ă bien nĂ©gocier avec les bailleurs de fonds ;
- Transparence sur les indicateurs des conditions monĂ©taires, sur les facteurs et les rĂ©seaux de complicitĂ© de maintien de lâinflation ;
- Revoir le statut de la banque centrale ;
- Donner les grands moyens aux chercheurs des universités ;
- Soumettre au dĂ©bat lâexpĂ©rience de la banque centrale ;
- CritĂšres Ă discuter pour le profil du gouvernement de la banque centrale, Ă©tant donnĂ© la persistance de lâinflation et du chĂŽmage massif dans le pays ;
- Droit de regard des dirigeants, des partis politiques, de la société civile, sur la gestion de la banque centrale ;
- RĂšglementation obligeant la banque centrale Ă susciter une croissance Ă©conomique susceptible dâaccroĂźtre la production et de donner de solutions au chĂŽmage et cela pour Ă©viter des taux dâintĂ©rĂȘt acceptĂ©s malhonnĂȘtement, ou maladroitement ;
- Transparence sur la participation de la banque centrale à la politique économique générale ;
- Transparence sur les Ă©ventuels prĂȘts accordĂ©s par la banque centrale aux banques commerciales ; parts du peuple aux marchĂ©s interbancaires ;
- RĂšglementation de supervision prudentielle rĂ©gissant les banques, les compagnies dâassurance, les Ă©tablissements de crĂ©dits ;
- Débattre le modÚle de prévision de la banque centrale ; les éléments essentiels de gestion du risque dans la politique monétaire ;
- Surveillance prudentielle et solutions de toute crise bancaire ;
- Droit de regard et attention des autorités sur la gestion des banques commerciales car la politique monétaire et le financement des investissements dépendent dans une certaine mesure de ces derniÚres ;
- RĂšglementation prudentielle du risque pour Ă©viter des dĂ©tournements par le truchement des risques de crĂ©dit, les risques de taux dâintĂ©rĂȘt, le risque de liquiditĂ© pouvant frapper les finances publiques ;
- Technique de marchĂ© des banques, comme lâaccord relatif Ă lâĂ©change de taux dâintĂ©rĂȘt pour attĂ©nuer lâĂ©cart entre lâactif et le passif ;
- ContrĂŽle strict des marchĂ©s financiers qui doit dĂ©terminer clairement le respect de la discipline qui rĂ©git les opĂ©rateurs directs sur les marchĂ©s et les entreprises qui diffusent les informations relatives Ă lâenvironnement des finances publiques en vue de dĂ©fendre les acteurs Ă©conomiques malgaches ; dâoĂč contrĂŽle de tout cela par une commission bancaire et des autoritĂ©s des marchĂ©s ;
- Régulateur bancaire au sein des banques ;
- ContrĂŽleurs des risques au niveau des banques avec droit de vĂ©to quand lâintĂ©rĂȘt supĂ©rieur de la nation est trĂšs menacĂ© ou touchĂ©Â ; face Ă la politique de taux de change, nĂ©cessitĂ© dâun contrĂŽle et dâune mĂ©diation permanente concernant une vision Ă court et Ă long terme ;
- Transparence sur les taux de de change informels et les dĂ©rives de change, sur le volume de transaction de change, sur les licences dâimportation et dâexportation ;
- Remise en question de la démocratie purement acclamative ;
- Réclamer une démocratie aux plans économique et financier ;
- Taux de change : instrument de politique économique ;
- Fonds de prévoyance pour aider les paysans en période de cyclones ;
- Taxe bancaire pour financer lâassurance maladie universelle, un fonds de sĂ©curitĂ© sociale ;
- Transparence sur la politique de croissance, sur lâimpact des variations du taux de change ;
- Propositions sur la rĂ©forme de lâarchitecture financiĂšre internationale ;
- Rapport clair de la banque centrale au sénat et à la banque centrale ;
- DĂ©bat sur le rapport concernant les difficultĂ©s pour avoir lâĂ©quilibre de la balance des paiements ;
- DĂ©bat transparent sur les transactions commerciales avec les Ă©trangers, sur lâentrĂ©e et la sortie des capitaux en dehors de la banque centrale, sur le rapport entre la politique monĂ©taire et les investissements directs Ă©trangers ;
- Discussion dĂ©mocratique sur le taux de change qui garantit lâefficacitĂ© de la balance de paiement, donc abandonner la vision macroĂ©conomique anachronique (dĂ©passĂ© par le temps) ;
- RÎle des investissements directs étrangers (IDE) dans le financement des investissements voués à améliorer le « stock de capital » du pays ;
- Organe de surveillance du systÚme bancaire ;
- Loi sur la concurrence ;
- Equilibre fiscal et institutionnel ;
- Institution ou banque pour financer les petites et moyennes entreprises ;
- Transparence sur le recyclage des « crédits bancaires » ;
- Partenariat public-privé qui prend en considération les avantages comparatifs des secteurs public et privé ;
- Transparence sur les accords commerciaux et Ă©conomiques, sur les structures tarifaires commerciales viables sur lâaccord dâentraide clair pour aider la banque centrale en cas de crise monĂ©taire ; le produit intĂ©rieur brut (PIB) et solutions au chĂŽmage ;
- Transparence sur la répartition des fruits de la croissance économique (ou de la valeur ajoutée nationale) ;
- StratĂ©gies pour lâefficacitĂ© de lâappareil de production ;
- Amélioration des moyens de production des paysans ;
- Projection de croissance à long terme ;
- Conformité du modÚle et de la comptabilité de croissance aux priorités sociales ;
- Collaboration de tous les acteurs économiques pour assurer la réussite de la production ;
- Incitations économiques ;
- Croissance économique pour améliorer le savoir-faire ;
- Mesures pour assurer lâentrĂ©e des opĂ©rateurs Ă©conomiques malgaches dans le marchĂ© de crĂ©dit, pour faire des investissements dans dâautres secteurs et non exclusivement par les « micro-crĂ©dits » ;
- ModĂšle Ă©conomique qui coordonne lâentrĂ©e de lâargent dans chaque famille ;
- Arbitrage entre croissance économique et équité ;
- Loi sur les secteurs productifs ;
- Politique des grands travaux ;
- « SystÚme de transferts budgétaires compensatoires » dans les régions moins avancées et enclavées ;
- Fonds de croissance ;
- Octroi Ă ces rĂ©gions dâexternalitĂ©s des rĂ©seaux pour Ă©viter la concentration des ONG dans quelques lieux ;
- Mettre dans le dĂ©bat lâefficacitĂ© Ă©conomique de la politique de lâĂ©ducation ;
- Contribution du systÚme financier à une épargne nationale susceptible de financer les projets productifs ;
- Rapport entre lâĂ©pargne nationale, la productivitĂ© et le niveau de vie du peuple ;
- Utiliser le secteur financer pour le développement économique ;
- Investissements pour la croissance économique ;
- Politique fiscale pour supprimer les distorsions au sein de lâĂ©conomie ;
- Choix dâorganisation de la protection sociale ; justice fiscale, rĂ©partition Ă©quitable des impĂŽts ;
- Transparence sur les produits des privatisations, les bĂ©nĂ©fices des entreprises ou organismes dâEtat, les diverses redevances ;
- Dénoncer le cÎté négatif des pratiques émotionnelles pour susciter les véritables solutions de fond ;
- Discuter la relation entre le déficit public et la politique fiscale ;
- Plan dâĂ©pargne retraite populaire pour aider les personnes retraitĂ©es ;
- Code de bonne conduite relatif Ă la fiscalitĂ© des entreprises, comme remise en question de la dĂ©localisation comptable des bĂ©nĂ©fices par les sociĂ©tĂ©s Ă©trangĂšres, paiement dâune taxe environnementale, etc. ;
- Transparence sur le taux plancher dâimpĂŽt sur les sociĂ©tĂ©s ;
- Logique du « donnant donnant » ou logique du juste retour à bien respecter ;
- Politique de lutte contre le chÎmage ;
- Dispositif dâaide aux chĂŽmeurs ;
- Transparence sur le pourcentage du PIB affectĂ© Ă la crĂ©ation dâemplois ou Ă lâaide Ă ces derniers ;
- Structure pour lâoctroi et la recherche dâemplois et mise en Ćuvre du rĂŽle de la politique macro-Ă©conomique ;
- Coordination du marchĂ© du travail par le ministĂšre de la fonction publique Ă structure pour connaĂźtre lâĂ©volution de la politique chargĂ©e du marchĂ© du travail ;
- Croissance économique inclusive c'est-à -dire améliore le niveau de vie du peuple malgache et crée des emplois ;
- Croissance économique créatrice de richesses ;
- Droit constitutionnel des finances publiques ;
- Code lâaction sociale et des familles ;
- Société financiÚre de développement dans les collectivités territoriales décentralisées ;
Paris le 26 Octobre 2014
RAZAFISAMBATRA Louis De Mon DĂ©sir
PrĂ©sident dâun collectif des Associations Malgaches et Amis de Madagascar en France. Ces associations sont : le Mouvement pour le Renouveau de Madagascar : lâAssociation Mouvement Ecologique de Madagascar ; Promotion et Soutien au DĂ©veloppement et Ă l'Union Ă Madagascar ; lâAssociation Culturelle KETSA ; lâAssociation DĂ©fense de la FraternitĂ© entre les Individus ; Madagascar Partage ; lâAssociation NAMANA.