]
Les quotidiens du 03 Jul 2024
[ Midi ]
[ Express ]
[ Moov ]
Home Vie politique Dossier Madagascar. Un contrat social et civique pour ne pas aller de Charybde en Scylla

Madagascar. Un contrat social et civique pour ne pas aller de Charybde en Scylla

Le pacte plus citoyen qui suit, obligera les futurs prĂ©sidents de la rĂ©publique Ă  faire preuve d’honnĂȘtetĂ© pragmatique pour abandonner toute forme d’assujettissement Ă  l’adage malgache : « miala an’Ankatso dia Ambohidepona » (qui signifie littĂ©ralement aller de Charybde en Scylla).

- Démission du président de la république en cas de non création de la haute cour de justice;

- Pas d’arrestation en cas de revendication populaire de la mise en place de la haute cour de justice ;

- Cette revendication peut ĂȘtre faite par la pĂ©tition citoyenne ou par la descente dans la rue ;

- Participation citoyenne Ă  l’élaboration des lois organiques et au contrĂŽle des textes d’application des droits fondamentaux ;

- Cette collaboration citoyenne pourra ĂȘtre accompagnĂ©e par une revendication populaire en cas d’immobilisme ou de mutisme ou d’indiffĂ©rence des autoritĂ©s pendant un dĂ©lai de un an Ă  2 ans ;

- Droit public de l’économie et droit public des affaires pour pouvoir faire face Ă  la mondialisation ;

- Débat sur la réforme de nos finances publiques ;

- SystÚme public de protection sociale ;

- Politique budgétaire et équilibre de la balance de paiements ;

- SystĂšme d’aide pour les districts, les rĂ©gions, les communes, et pour les agriculteurs ;

- Transparence sur la hausse des dĂ©penses de l’Etat, sur les comptes d’affectation spĂ©ciale, sur les comptes spĂ©ciaux du trĂ©sor ;

- Budget annexe pour l’agriculture (85% de la population Ă©tant des paysans) ;

- Consensus relatif Ă  l’autonomie comptable et budgĂ©taire de certains ministĂšres et d’autres organismes (comme le ministĂšre des postes et tĂ©lĂ©communication) ;

- Transparence sur les recettes accidentelles (en période de cyclones par exemple) ;

- Transparence sur la procédure de fonds de concours pour savoir les sommes versées au pouvoir central par les régions, districts et communes ;

- Aide aux paysans pour la régulation des marchés ;

- Ordre du jour annuel relatif à la négociation avec les syndicats pour débattre la politique salariale ;

- Clause de sauvegarde permettant des ajustements a posteriori des salaires en cas d’inflation galopante ;

- Amélioration de la démocratie parlementaire par la démocratie citoyenne ;

- Dénonciation des artifices juridiques du parlementarisme rationnalisé ;

- Obligations de conformitĂ© des lois organiques prises par voie d’ordonnance aux aspirations et aux prioritĂ©s du peuple et surtout des coins de l’üle dĂ©laissĂ©s depuis des dĂ©cennies ;

- Transparence sur les arrĂȘtĂ©s de transfert et de virement de crĂ©dits ;

- Pas de pression politique à la cour des comptes ;

- Un pacte national de l’emploi ;

- Transparence sur le compte d’affectation des produits de la privatisation et sur la caisse d’amortissement de la dette de l’Etat ;

- ContrĂŽle strict des dĂ©crets d’avance pris par le gouvernement ;

- Transparence sur le rĂ©gime juridique de ces dĂ©crets d’avance, sur les dĂ©penses de l’Etat faites par le truchement des prĂ©lĂšvements sur le crĂ©dit global pour dĂ©penses Ă©ventuelles ;

- VĂ©rification stricte des dĂ©penses de l’Etat non inscrites malhonnĂȘtement dans la loi de finances (exemple : les budgets dits extraordinaires) ;

- Précision du régime juridique du budget annexe ;

- Compétence et droit absolu de la cour des comptes de critiquer les conditions afférentes à la compensation et au transfert du budget annexe au budget général :

- Gestion rigoureuse des budgets annexes ;

- ContrÎle strict de comptes spéciaux du trésor par les parlementaires ;

- Transparence sur la gestion des fonds d’approvisionnement, d’amortissement, de provision ;

- Transparence sur le compte de commerce, sur le compte du rÚglement qui contient les opérations conclues avec les gouvernements étrangers ;

- Transparence sur les comptes d’opĂ©rations monĂ©taires contenant les opĂ©rations de change, les opĂ©rations avec le fonds monĂ©taire internationale, les Ă©missions des monnaies ;

- Transparence sur le rĂ©gime juridique des « comptes d’avances », sur les fonds de concours provenant des financements des personnes privĂ©e et morale ;

- Interdiction de transfĂ©rer le financement de certains investissements de l’Etat Ă  des organismes de relais (donc interdiction de toute forme de dĂ©budgĂ©tisation opaque) ;

- Transfert inconditionnel de certaines compétences du pouvoir central vers les collectivités territoriales décentralisées ;

- Précision et transparence sur la réalisation de la décentralisation effective ;

- Inspection d’Etat concernant les dĂ©penses de l’Etat faites par le truchement des crĂ©dits provisionnels (ou par des crĂ©dits similaires) et les dĂ©penses du ministre des finances par le rĂšglement ;

- Transparence sur l’augmentation des « crĂ©dits provisionnels » provenant du « crĂ©dit global pour dĂ©penses Ă©ventuelles », donc suivi des arrĂȘtĂ©s affĂ©rents du ministre des finances ;

- ContrĂŽle rigoureux des « chapitres rĂ©servoirs » dans le budget du ministĂšre des finances, donc suivi de la rĂ©partition faite par l’arrĂȘtĂ© du ministre des finances ;

- ContrĂŽle strict de la loi de finances par la haute cour constitutionnelle, donc nĂ©cessitĂ© de techniciens financiers Ă©lus par le peuple pour Ă©viter l’allĂ©geance politique trop partisane au sein de cette derniĂšre ;

- Repenser la nomination des membres de la haute cour constitutionnelle ;

- Prise de dĂ©cision de la haute cour constitutionnelle concernant la compĂ©tence des parlementaires pour contrĂŽler les traitĂ©s qui engagent le budget de l’Etat ;

- Transparence sur les dĂ©cisions prises en dehors du budget de l’Etat (« cavalier budgĂ©taire ») ;

- Institution Ă©tatique ou autoritĂ© judiciaire oĂč l’on peut dĂ©poser une requĂȘte contre un « texte rĂšglementaire » qui modifie les crĂ©dits dĂ©jĂ  votĂ©s par les parlementaires ;

- Pleine compĂ©tence de la cour des comptes pour contrĂŽler l’exĂ©cution de l’utilisation du budget, donc repenser aussi la nomination des membres de la cour des comptes pour assurer leur impartialitĂ© et leur neutralitĂ© politique, et surtout pour garantir la qualitĂ© et la rigueur de la gestion budgĂ©taire ; pour Ă©viter tout jeu d’écriture malhonnĂȘte donnĂ© en temps rĂ©el toutes les informations relatives aux recettes de l’Etat de l’annĂ©e prĂ©cĂ©dente ; concernant l’élaboration du choix du budget, mise au courant des parlementaires afin que ces derniers puissent dĂ©fendre les prioritĂ©s de leurs rĂ©gions (ceci suppose que chaque dĂ©putĂ© doit ĂȘtre assistĂ© par un technicien financier) ;

- Conformité de la loi de finances au choix démocratique ;

- Transparence sur les opérations financiÚres faites par le gouvernement en dehors de la loi de finances ;

- Changement de vision relatif aux « masses budgétaires » ;

- ContrÎle des parlementaires et des citoyens concernant les comptes spéciaux du trésor et les budgets annexes ;

- Concernant le contrĂŽle de la loi de finances par les parlementaires, ces derniers devront dĂ©battre le rapport relatif Ă  « l’équilibre Ă©conomique et financier », la politique Ă©conomique, la politique budgĂ©taire ;

- Mettre en annexe de la loi de finances le rĂ©sultat du contrĂŽle des recettes de l’Etat et le rapport relatif aux financements destinĂ©s au dĂ©veloppement Ă©conomique et social ;

- Mettre en annexe de la loi de finances les explications transparentes relatives aux comptes spĂ©ciaux de trĂ©sor, aux crĂ©dits de chaque ministĂšre, Ă  l’augmentation des dĂ©penses de l’Etat (autorisation de programme et crĂ©dits de paiement) ;

- DĂ©battre Ă©galement donc Ă  l’assemblĂ©e nationale l’annexe de la loi de finances ;

- Amélioration des techniques de choix budgétaire ; durant le débat pour le vote de la loi de finances, il faut un rapporteur chargé des comptes spéciaux du trésor ;

- CompĂ©tence de la commission de finances de l’assemblĂ©e nationale Ă  proposer des contre-projets ;

- CompĂ©tence du rapporteur de cette commission de finances pour contrĂŽler l’exĂ©cution de la loi de finances, donc repenser aussi sa nomination pour qu’il ne soit pas victime de pression politique ;

- Adéquation de la loi de finances aux priorités vouées à faire sortir la majorité de la population de la pauvreté ;

- Repenser alors le vote d’ensemble classique de la loi de finances pour Ă©viter les gaspillages sans scrupules ; amĂ©lioration de la rĂšgle du vote par titre et par ministĂšre des autorisations nouvelles des dĂ©penses de l’Etat ;

- Transparence sur toute forme de « procĂ©dure d’urgence » autorisant des dĂ©penses de l’Etat ;

- Mettre dans la constitution l’obligation d’encadrement et les conditions de la discussion affĂ©rente Ă  la loi de finances, l’élaboration de celle-ci exigeant de technicité ;

- Transparence sur les manipulations insĂ©rant dans de simples textes les dispositions vouĂ©es Ă  ĂȘtre juridiquement dans la loi de finances, donc suivi trĂšs sĂ©rieux de la procĂ©dure lĂ©gislative subsidiaire et des dispositions Ă©trangĂšres Ă  l’objet financier du budget ;

- Refonte de la rĂšgle du vote unique des services votĂ©s pour contrecarrer les dĂ©penses de l’Etat « fictives » (dĂ©mocratie parlementaire Ă  amĂ©liorer) ;

- Cibler d’abord les solutions de fond pour empĂȘcher toute prĂ©cipitation malveillante pour rĂ©partir les crĂ©dits dans les ministĂšres ; chaque ministre tenu de mettre dans le dĂ©bat l’essence vĂ©ritable de son choix politique et non donner globalement son projet politique ;

- L’exĂ©cution de la loi des finances en phase avec l’évolution des rĂ©alitĂ©s Ă©conomiques et des finances publiques ;

- Transparence sur les « crédits globaux » ;

- Respect du code budgétaire de chaque chapitre au cours de la répartition des crédits ;

- Contrebalancer le pouvoir excessif du gouvernement pendant l’élaboration du projet de loi de finances, Ă©quilibrer donc le « pouvoir discrĂ©tionnaire du gouvernement » ;

- ContrĂŽle mĂ©ticuleux des dĂ©crets qui rĂ©partit les crĂ©dits, en l’occurrence suivi de l’octroi de budget annexe Ă  certains chefs de service impliquĂ©s dans le rĂ©seau de complicitĂ© avec le ministre des finances ou le premier ministre ;

- Suppression de pouvoirs spéciaux de quelques ordonnateurs adjoints membres de ce réseau ;

- Inspection des virements d’écritures, des maniements de titres, faits par les comptables du budget de l’Etat ;

- Passer dans le débat la gestion des ordonnateurs et des comptables publics, et de la chambre des comptes ;

- Inspection des comptables du trĂ©sor, des comptables des comptes spĂ©ciaux du trĂ©sor et des budgets annexes, des agents comptables chargĂ©s de la dette de l’Etat ;

- Inspection des rĂ©seaux des comptables (trĂ©soriers payeurs gĂ©nĂ©raux, receveurs et receveurs percepteurs, receveur des douanes, comptables spĂ©ciaux du trĂ©sor, payeur gĂ©nĂ©ral des armĂ©es, trĂ©sorier payeur gĂ©nĂ©ral pour l’étranger et agents payeurs dans les missions diplomatiques, greffiers comptables des Ă©tablissements pĂ©nitentiaires, agents comptables des crĂ©ances contentieuses du trĂ©sor, etc.) ;

- Compétence des parlementaires de contrÎler le compte du trésor inscrit dans le livre de la banque centrale qui contient toutes les recettes provenant de tous les comptables publics ;

- ContrÎle de la gestion des comptables publics et de la banque centrale ;

- Amélioration du régime juridique des comptables ;

- Inspection des dĂ©penses faites par le ministre des finances en dehors de l’ordonnancement ; suivi de l’ordonnancement de rĂ©gularisation des dĂ©penses aprĂšs paiement ;

- DĂ©mantĂšlement des rĂ©seaux de complicitĂ© des comptables publics, des ordonnateurs du budget de l’Etat et des contrĂŽleurs financiers ;

- Au niveau de chaque ministĂšre, inspection gĂ©nĂ©rale de l’administration en charge du contrĂŽle de la gestion de l’ordonnateur du budget ;

- ContrĂŽle de la gestion de l’armĂ©e ;

- Inspection de l’exĂ©cution du budget faite par l’inspection gĂ©nĂ©rale des finances ;

- Inspection générale du trésor et inspection fiscales : trÚs opérationnelles ;

- ContrĂŽle de l’inspecteur des finances sur la gestion des comptables et sur le respect par les ordonnateurs des rĂšgles de la comptabilitĂ© publique ;

- Mise en place des chambres de compte aux niveaux national et régional ;

- Informer le peuple du rapport annuel des chambres de compte aux niveaux national et régional ;

- Etroite collaboration de la cour des comptes, de l’assemblĂ©e nationale, du gouvernement, pour contrĂŽler sĂ©rieusement l’exĂ©cution de la loi de finances ;

- Donner aux journalistes la copie du rapport annuel de la cour des comptes ; cour de discipline budgĂ©taire et financiĂšre compĂ©tente pour juger la mauvaise gestion des ordonnateurs du budget de l’Etat ;

- Commission des finances de l’assemblĂ©e nationale rĂ©ellement compĂ©tente pour scruter l’exĂ©cution du budget de l’Etat ;

- Transparence sur la politique fiscale servant à améliorer la politique économique et sociale ;

- L’équitĂ© fiscale ;

- Bien informer la peuple des détails du code général des impÎts par des circulaires des autorités compétentes ;

- DĂ©battre les problĂšmes de fond de la fiscalitĂ©, comme l’efficacitĂ© Ă©conomique ou non des impĂŽts, leur impact sur l’économie, etc. ;

- Transparence sur la gestion de la direction générale des impÎts, la direction de la comptabilité publique, la direction générale des douanes ;

- Le vote de la loi fiscale contrÎlé par la haute cour constitutionnelle ;

- Loi organique sur les finances publiques ;

- Dépenses fiscales destinées à faire des investissements ou épargne spécifique ;

- Débat sur la structure du prélÚvement fiscal ;

- Informer les parlementaires ou la société civile, les chefs de parti, les journalistes, du rapport fait par le conseil des impÎts ;

- Transparence sur le rĂ©sultat comptable et le bĂ©nĂ©fice comptable de toutes les entreprises aussi bien nationale qu’étrangĂšre ;

- Transparence sur le calcul de la paritĂ© des pouvoirs d’achat par le diffĂ©rentiel de l’inflation;

- Mesures pour faire face Ă  l’inflation importĂ©e galopante ;

- DĂ©bat dĂ©mocratique sur les conditionnalitĂ©s imposĂ©es par les bailleurs de fonds, sur les dĂ©rives les plus extrĂȘmes de certaines devises ;

- StratĂ©gies permettant de mesurer l’impact des variations du taux de change face au diffĂ©rentiel d’inflation entre Madagascar et ses partenaires ;

- Ajustement en temps rĂ©el du cours de la monnaie malgache face au diffĂ©rentiel d’inflation ;

- Sanction Ă  tout investisseur qui se permet d’annuler le changement anticipĂ© concernant le taux de change ;

- Transparence sur la gestion des « obligations remboursables » octroyées par les pays partenaires ;

- DĂ©bat sur la paritĂ© des taux d’intĂ©rĂȘt st sur la paritĂ© des pouvoirs d’achat, sur l’arbitrage couvert sur taux d’intĂ©rĂȘt ;

- Discussion dĂ©mocratique sur la mĂ©thode d’analyse du taux de change par la balance des paiements ;

- Mettre dans la balance des paiements tout financement exceptionnel offert par le FMI ;

- Inspection d’un Ă©ventuel rĂ©seau de complicitĂ© dans l’élaboration de la balance des paiements et du taux de change ;

- Transparence sur le financement du déficit de la balance courante de la balance des paiements ;

- Transparence sur les limites de collaboration de l’économie malgache avec les capitaux Ă©trangers et les limites oĂč celle-ci est mise en otage par ces derniers ; passer dans le dĂ©bat les taux de change qui ne nuit pas notre Ă©conomie (taux de change flexibles administrĂ©s ou rĂ©gime de taux de change flottant ? ou rĂ©gime de change flottant contrĂŽlé ? ou taux de change fixe ?; face Ă  la mondialisation, stratĂ©gie d’anticipation dans les fixations du taux de change par le truchement des actifs du marchĂ© pour ne pas lĂ©ser les opĂ©rateurs Ă©conomiques malgaches ;

- Mesures de lutte contre la spéculation internationale ;

- StratĂ©gies pour amĂ©liorer la productivité ; possibilitĂ© d’une politique d’anticipation du taux de change par les opĂ©rateurs Ă©conomiques nationaux, la fixation du taux de change ne devant pas ĂȘtre exclusivement faite par les flux commerciaux dans la balance courante ;

- Détermination des moyens pour pouvoir suivre le marché de capitaux ;

- Dialogue entre les banques et les dirigeants pour parler au moins d’une Ă©ventuelle conversion de crĂ©ances bancaires en titres nĂ©gociables ;

- MĂ©canisme d’assurance collective du risque systĂ©mique ;

- ContrÎle du droit bancaire ; des spéculateurs responsables de la dévaluation excessive de la monnaie malgache à sanctionner ;

- Mise en Ɠuvre de la fonction de stabilisation de la politique budgĂ©taire ;

- Politique de réinvestissement des capitaux octroyés par les bailleurs de fonds ;

- Partenariats sociaux et partenariats Ă©quilibrĂ©s pour que le pays ne soit pas victime d’un libĂ©ralisme dĂ©bridĂ© ou d’une libĂ©ralisation Ă©conomique sauvage ;

- VolontĂ© politique de revendiquer les conditions pour pouvoir faire face Ă  l’insuffisance de mobilitĂ© des capitaux ;

- Pas d’aveuglement aux pressions irrĂ©alistes de la concurrence Ă©conomique internationale ;

- Priorités sociales ; économie sociale et solidaire de marché pour préserver le « fihavanana malagasy » ;

- Méthode de prévision des crises de change ;

- Ecouter les experts comptables et les spĂ©cialistes d’audit d’entreprises malgaches ;

- Code des investissements qui tient compte des prioritĂ©s vouĂ©es Ă  amĂ©liorer le niveau de vie de la population malgache ; experts malgaches associĂ©s aux techniques d’évaluation ;

- LibĂ©ralisation culturelle : de pair avec la vĂ©ritable dĂ©mocratisation de l’enseignement, donc augmentation des investissements destinĂ©s Ă  amĂ©liorer les moyens scolaires et non « systĂšme d’entonnoir » et « concours malhonnĂȘtes » pour accĂ©der Ă  l’université ; ĂȘtre dĂ©complexĂ© pour revendiquer aux bailleurs de fonds les techniques de fond et les conditions garantes de l’efficacitĂ© de l’économie de marché ;

- Débat pour un marché monétaire sain et une politique monétaire bien réglée ;

- Techniques pour protĂ©ger l’économie du risque engendrĂ© par la mondialisation Ă©conomique et financiĂšre ;

- Transparence sur les conséquences de la mondialisation sur la croissance économique ;

- Moyens pour faire sortir les banques de la sous-capitalisation ;

- Négociateurs malgaches non frustrés devant les bailleurs de fonds ;

- Politique crĂ©atrice de marchĂ©s d’obligations d’entreprise, de marchĂ© de capitaux, de marchĂ©s d’obligations, pour ne pas ĂȘtre Ă  la risĂ©e de la mondialisation ;

- Investissement sur la recherche ; dĂ©bat sur les conditions et les moyens susceptibles de faire entrer les opĂ©rateurs Ă©conomique dans l’économie de l’innovation ;

- Subventions aux opérateurs économiques nationaux ;

- Débat sur le rapport entre le commerce international et la croissance économique ;

- Précision du modÚle social malgache sur la croissance économique qui tient compte des réalités malgaches et donner des recommandations politiques trÚs claires ;

- Utiliser les impÎts sur une partie des bénéfices des sociétés étrangÚres pour les investissements en actions et en obligations des opérateurs économiques malgaches ;

- Véritable autorité de régulation des marchés ;

- VolontĂ© politique de dĂ©terminer les conditions oĂč se fonde la mondialisation Ă©quitable ;

- Changement facilitant l’accĂšs des acteurs Ă©conomiques nationaux et des entreprises malgaches aux marchĂ©s, un tel changement sensĂ© Ă  accroĂźtre et dĂ©fendre l’investissement et Ă  rĂ©soudre le chĂŽmage ;

- DĂ©bat sur la libĂ©ralisation, sur la croissance Ă©conomique, sur les stratĂ©gies permettant Ă  l’Etat d’aider le marchĂ© par l’incitation des opĂ©rateurs Ă©conomiques ;

- Une économie de marché permettant à notre politique fiscale de favoriser une performance économique ;

- Taxe d’apprentissage prĂ©levĂ©e sur les masses salariales de grandes entreprises pour aider les citoyens en Ă©chec scolaire ;

- DĂ©bat sur l’assurance chĂŽmage et sur l’assurance maladie et il n’y a pas Ă  ĂȘtre pessimiste lĂ -dessus parce que nos richesses pĂ©troliĂšres et miniĂšres peuvent nous faire gagner au moins 4 millions de dollars par jour ;

- Transparence sur la « théorie fiscale » mise en vigueur dans le pays ;

- Utilisation de la fiscalité comme instrument économique pour corriger les imperfections de marché ;

- Une politique fiscale qui scrute la mobilitĂ© des capitaux et des biens oĂč l’on trouve de diverses contraintes supplĂ©mentaires telles que la contradiction entre l’épargne et les taux d’intĂ©rĂȘt au plan international ;

- DĂ©bat sur l’effet d’éviction catastrophique par les taux d’intĂ©rĂȘt et par les taux de change ;

- Réalisation des droits économiques et sociaux ;

- Abandon de la deuxiĂšme forme du machiavĂ©lisme politique (qui a laissĂ© la majoritĂ© de la population sombrer dans l’ignorance de ses droits) ;

- Fonds de sécurité sociale ;

- Politique de supervision prudentielle pour ne pas rendre l’économie vulnĂ©rable vis-Ă -vis de toute crise Ă©conomique internationale ;

- Mettre dans le dĂ©bat les conditions d’efficacitĂ© de la politique budgĂ©taire ;

- Politique de soutenabilitĂ© des finances publique ; prĂ©cision de la politique ou l’économie politique de la dette ;

- Politique fiscale vouĂ©e Ă  l’amĂ©lioration de l’économie, en l’occurrence les instruments de production exigĂ©s par les prioritĂ©s sociales et Ă©conomiques ;

- Discuter la question de soutenabilité de la dette ;

- Acceptation de la capacité du secteur privé à prévoir les conséquences de la politique budgétaire ;

- Politique d’anticipation ;

- RĂ©vision de la dictature de la majoritĂ© Ă  l’assemblĂ©e nationale ;

- Transparence sur les rĂšgles d’affectation des excĂ©dents de recettes ;

- ComitĂ© d’audit budgĂ©taire ;

- Transparence sur l’engagement des dĂ©penses hors bilan, sur les dĂ©penses spĂ©ciales de l’Etat, sur l’ordre de rĂ©quisition opaque du premier ministre ;

- Pas question d’avaler la pilule amĂšre de toute politique macroĂ©conomique standard ;

- Transparence sur les « dettes souveraines » détenues et gérées par des banques étrangÚres ;

- La politique monĂ©taire en tant qu’instrument de rĂ©gulation macroĂ©conomique, d’oĂč l’importance de nuancer l’indĂ©pendance de la banque centrale ;

- La banque centrale et la crĂ©ation d’emplois ;

- Transparence sur le « marchĂ© obligataire » (obligation Ă©mise par l’Etat pour financer son dĂ©ficit) ;

- Rapport entre les taux d’intĂ©rĂȘt fixĂ©s par la banque centrale et les aspirations du peuple ;

- Collaboration de la banque centrale avec les opérateurs économiques nationaux, la société civile pour discuter le taux directeur ou la politique monétaire standard imposée par les bailleurs de fond ;

- Politique créatrice de richesses ;

- Moyenne pondĂ©rĂ©e du taux de change et du taux d’intĂ©rĂȘt Ă  bien nĂ©gocier avec les bailleurs de fonds ;

- Transparence sur les indicateurs des conditions monĂ©taires, sur les facteurs et les rĂ©seaux de complicitĂ© de maintien de l’inflation ;

- Revoir le statut de la banque centrale ;

- Donner les grands moyens aux chercheurs des universités ;

- Soumettre au dĂ©bat l’expĂ©rience de la banque centrale ;

- CritĂšres Ă  discuter pour le profil du gouvernement de la banque centrale, Ă©tant donnĂ© la persistance de l’inflation et du chĂŽmage massif dans le pays ;

- Droit de regard des dirigeants, des partis politiques, de la société civile, sur la gestion de la banque centrale ;

- RĂšglementation obligeant la banque centrale Ă  susciter une croissance Ă©conomique susceptible d’accroĂźtre la production et de donner de solutions au chĂŽmage et cela pour Ă©viter des taux d’intĂ©rĂȘt acceptĂ©s malhonnĂȘtement, ou maladroitement ;

- Transparence sur la participation de la banque centrale à la politique économique générale ;

- Transparence sur les Ă©ventuels prĂȘts accordĂ©s par la banque centrale aux banques commerciales ; parts du peuple aux marchĂ©s interbancaires ;

- RĂšglementation de supervision prudentielle rĂ©gissant les banques, les compagnies d’assurance, les Ă©tablissements de crĂ©dits ;

- Débattre le modÚle de prévision de la banque centrale ; les éléments essentiels de gestion du risque dans la politique monétaire ;

- Surveillance prudentielle et solutions de toute crise bancaire ;

- Droit de regard et attention des autorités sur la gestion des banques commerciales car la politique monétaire et le financement des investissements dépendent dans une certaine mesure de ces derniÚres ;

- RĂšglementation prudentielle du risque pour Ă©viter des dĂ©tournements par le truchement des risques de crĂ©dit, les risques de taux d’intĂ©rĂȘt, le risque de liquiditĂ© pouvant frapper les finances publiques ;

- Technique de marchĂ© des banques, comme l’accord relatif Ă  l’échange de taux d’intĂ©rĂȘt pour attĂ©nuer l’écart entre l’actif et le passif ;

- ContrĂŽle strict des marchĂ©s financiers qui doit dĂ©terminer clairement le respect de la discipline qui rĂ©git les opĂ©rateurs directs sur les marchĂ©s et les entreprises qui diffusent les informations relatives Ă  l’environnement des finances publiques en vue de dĂ©fendre les acteurs Ă©conomiques malgaches ; d’oĂč contrĂŽle de tout cela par une commission bancaire et des autoritĂ©s des marchĂ©s ;

- Régulateur bancaire au sein des banques ;

- ContrĂŽleurs des risques au niveau des banques avec droit de vĂ©to quand l’intĂ©rĂȘt supĂ©rieur de la nation est trĂšs menacĂ© ou touché ; face Ă  la politique de taux de change, nĂ©cessitĂ© d’un contrĂŽle et d’une mĂ©diation permanente concernant une vision Ă  court et Ă  long terme ;

- Transparence sur les taux de de change informels et les dĂ©rives de change, sur le volume de transaction de change, sur les licences d’importation et d’exportation ;

- Remise en question de la démocratie purement acclamative ;

- Réclamer une démocratie aux plans économique et financier ;

- Taux de change : instrument de politique économique ;

- Fonds de prévoyance pour aider les paysans en période de cyclones ;

- Taxe bancaire pour financer l’assurance maladie universelle, un fonds de sĂ©curitĂ© sociale ;

- Transparence sur la politique de croissance, sur l’impact des variations du taux de change ;

- Propositions sur la rĂ©forme de l’architecture financiĂšre internationale ;

- Rapport clair de la banque centrale au sénat et à la banque centrale ;

- DĂ©bat sur le rapport concernant les difficultĂ©s pour avoir l’équilibre de la balance des paiements ;

- DĂ©bat transparent sur les transactions commerciales avec les Ă©trangers, sur l’entrĂ©e et la sortie des capitaux en dehors de la banque centrale, sur le rapport entre la politique monĂ©taire et les investissements directs Ă©trangers ;

- Discussion dĂ©mocratique sur le taux de change qui garantit l’efficacitĂ© de la balance de paiement, donc abandonner la vision macroĂ©conomique anachronique (dĂ©passĂ© par le temps) ;

- RÎle des investissements directs étrangers (IDE) dans le financement des investissements voués à améliorer le « stock  de capital » du pays ;

- Organe de surveillance du systÚme bancaire ;

- Loi sur la concurrence ;

- Equilibre fiscal et institutionnel ;

- Institution ou banque pour financer les petites et moyennes entreprises ;

- Transparence sur le recyclage des « crédits bancaires » ;

- Partenariat public-privé qui prend en considération les avantages comparatifs des secteurs public et privé ;

- Transparence sur les accords commerciaux et Ă©conomiques, sur les structures tarifaires commerciales viables sur l’accord d’entraide clair pour aider la banque centrale en cas de crise monĂ©taire ; le produit intĂ©rieur brut (PIB) et solutions au chĂŽmage ;

- Transparence sur la répartition des fruits de la croissance économique (ou de la valeur ajoutée nationale) ;

- StratĂ©gies pour l’efficacitĂ© de l’appareil de production ;

- Amélioration des moyens de production des paysans ;

- Projection de croissance à long terme ;

- Conformité du modÚle et de la comptabilité de croissance aux priorités sociales ;

- Collaboration de tous les acteurs économiques pour assurer la réussite de la production ;

- Incitations économiques ;

- Croissance économique pour améliorer le savoir-faire ;

- Mesures pour assurer l’entrĂ©e des opĂ©rateurs Ă©conomiques malgaches dans le marchĂ© de crĂ©dit, pour faire des investissements dans d’autres secteurs et non exclusivement par les « micro-crĂ©dits » ;

- ModĂšle Ă©conomique qui coordonne l’entrĂ©e de l’argent dans chaque famille ;

- Arbitrage entre croissance économique et équité ;

- Loi sur les secteurs productifs ;

- Politique des grands travaux ;

- « SystÚme de transferts budgétaires compensatoires » dans les régions moins avancées et enclavées ;

- Fonds de croissance ;

- Octroi Ă  ces rĂ©gions d’externalitĂ©s des rĂ©seaux pour Ă©viter la concentration des ONG dans quelques lieux ;

- Mettre dans le dĂ©bat l’efficacitĂ© Ă©conomique de la politique de l’éducation ;

- Contribution du systÚme financier à une épargne nationale susceptible de financer les projets productifs ;

- Rapport entre l’épargne nationale, la productivitĂ© et le niveau de vie du peuple ;

- Utiliser le secteur financer pour le développement économique ;

- Investissements pour la croissance économique ;

- Politique fiscale pour supprimer les distorsions au sein de l’économie ;

- Choix d’organisation de la protection sociale ; justice fiscale, rĂ©partition Ă©quitable des impĂŽts ;

- Transparence sur les produits des privatisations, les bĂ©nĂ©fices des entreprises ou organismes d’Etat, les diverses redevances ;

- Dénoncer le cÎté négatif des pratiques émotionnelles pour susciter les véritables solutions de fond ;

- Discuter la relation entre le déficit public et la politique fiscale ;

- Plan d’épargne retraite populaire pour aider les personnes retraitĂ©es ;

- Code de bonne conduite relatif Ă  la fiscalitĂ© des entreprises, comme remise en question de la dĂ©localisation comptable des bĂ©nĂ©fices par les sociĂ©tĂ©s Ă©trangĂšres, paiement d’une taxe environnementale, etc. ;

- Transparence sur le taux plancher d’impĂŽt sur les sociĂ©tĂ©s ;

- Logique du « donnant donnant » ou logique du juste retour à bien respecter ;

- Politique de lutte contre le chÎmage ;

- Dispositif d’aide aux chîmeurs ;

- Transparence sur le pourcentage du PIB affectĂ© Ă  la crĂ©ation d’emplois ou Ă  l’aide Ă  ces derniers ;

- Structure pour l’octroi et la recherche d’emplois et mise en Ɠuvre du rĂŽle de la politique macro-Ă©conomique ;

- Coordination du marchĂ© du travail par le ministĂšre de la fonction publique Ă structure pour connaĂźtre l’évolution de la politique chargĂ©e du marchĂ© du travail ;

- Croissance économique inclusive c'est-à-dire améliore le niveau de vie du peuple malgache et crée des emplois ;

- Croissance économique créatrice de richesses ;

- Droit constitutionnel des finances publiques ;

- Code l’action sociale et des familles ;

- Société financiÚre de développement dans les collectivités territoriales décentralisées ;

Paris le 26 Octobre 2014


RAZAFISAMBATRA Louis De Mon DĂ©sir

PrĂ©sident d’un collectif des Associations Malgaches et Amis de Madagascar en France. Ces associations sont : le Mouvement pour le Renouveau de Madagascar : l’Association Mouvement Ecologique de Madagascar ; Promotion et Soutien au DĂ©veloppement et Ă  l'Union Ă  Madagascar ; l’Association Culturelle KETSA ; l’Association DĂ©fense de la FraternitĂ© entre les Individus ; Madagascar Partage ; l’Association NAMANA.

Mis Ă  jour ( Mardi, 28 Octobre 2014 20:56 )  
BanniĂšre

Madagate Affiche

 

WMG-Inner Wheel Madagascar. Un partenariat efficace pour la promotion de la formation professionnelle des femmes

 

Christophe Deloire. Brusque décÚs du SG de RSF International, le 08 juin 2024

 

WMG Madagascar. Des serviettes pĂ©riodiques lavables pour les Ă©lĂšves du CEG d’Ambohidrabiby

 

HAJASOA - Raoeliarivelo Hajasoa Pauline, nodimandry ny 28 May 2024

 

GrĂące Marie-Jeanne Ramambazafy teraka Rasoarivony, renin'i Jeannot Ramambazafy. Toa marina fa ny tsara saina sy tsara fanahy no matetika lasa mialoha

 

Mialy R. RAJOELINA. Hommage pour la FĂȘte des MĂšres 2024

 

PentekĂŽsta 2024. FANAHY hoe ?

 

TSIMITOVIAMINIANDRIANDEHIBE GUY RAJAOFETRA (XHI). Fisaorana avy amin’ny vady aman-janany, zafikeliny ary ny fianakaviana iray manontolo

 

LALIE (1976-2024) : Mandria am-piadànana namako amin’ny tsikinao ‘zay


 

«La Passion du Christ». Concert de PĂąques des enfants de l’Orphelinat Saint Paul Antananarivo. Dimanche 14 Avril 2024 Ă  15 heures en la CathĂ©drale Anglicane Saint Laurent Ambohimanoro. ENTREE LIBRE QU'ON SE LE DISE!

CLIQUEZ ICI. MERCI Pour ce Concert de PĂąques, les enfants du Centre -des adolescents Ă  prĂ©sent!-, s’entraĂ...