Décidément, le mot impossible ne figure pas dans le vocabulaire du président Marc Ravalomanana. Alors que, quelque part, il existe sûrement des preuves irréfutables que quelques entités ont 100.000 Morts sur la conscience, le programme de la commémoration du 29 mars 1947, soixante ans après, se rapproche de celui d’un 26 juin, fête de l’Indépendance, que d’une journée de recueillement. Il est de mon devoir de rafraîchir les mémoires, au nom des descendants de ces milliers de victimes.
Et je ne vais pas mettre des gants car le temps passe et qui sait si je serai encore là en 2008 ? En passant, la photo d’illustration est la couverture du livre de Jean-Luc Raharimanana et la photo du Fonds Charles Ravoajanahary